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Le but de notre vie est-il vraiment d’être heureux ?
Si le but
de la vie était d’être heureux, il me semble qu’elle serait cruelle. Ce serait comme nous faire j
ouer à un jeu truqué, dont nous sommes certains de sortir perdants.
Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais si nous regardons la réalité objectivement, il semble assez clair que le but (présumant qu’il y en ait un… croisons les doigts !) N’est pas de nous combler, mais au contraire de nous détruire – de briser les parties de nous qui sont fragiles. Et ce, afin que nous ayons la motivation de découvrir notre véritable force.
Nous recevons des bonbons, puis ils nous sont enlevés, encore et encore, jusqu’à ce que nous en ayons assez des hauts et des bas. Et que nous partions à la recherche de cet espace intérieur sacré, qui ne Peut-être ébranlé.
Bien sûr, il y a les colibris, et les sourires, La bonté spontanée des gens. Le chocolat, Le soleil et l’océan. La musique (qui à mon avis, vaut réellement la peine d’être écoutée au moins une fois).
Profiter des petits et grands bonheurs, certes, mais est-ce toujours possible ?
Il y a une quantité incroyable de petits et de grands bonheurs au quotidien, et nous gagnons tellement, comme on nous le répète d’ailleurs régulièrement, à les savourer encore davantage. Oh, c’est un fait, nous recevons une foule de cadeaux que, souvent, nous remarquons à peine.
Cela dit, peut-être pouvons-nous nous donner un peu plus de crédit… Car savourer ces petits trésors alors que nous vivons une existence humaine, remplie de responsabilités, de deuils et de défis, c’est parfois comme essayer de savourer un verre de vin en regardant notre maison se faire réduire en cendres. C’est difficile. Parfois, c’est impossible. Et quand nous sommes vraiment au bout de nous-mêmes, le geste le plus sain et le plus courageux n’est souvent pas d’essayer de savourer joyeusement notre verre de vin, mais de se permettre de le fracasser sur le sol.

